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27 & 28 Novembre

Nader 29 octobre 2020 Non classé

Pour l’instant, nous sommes au loin les uns des autres, au large des terres, des îles, des pays et des musiques de Cocagne. Si l’on ne peut pas réellement combler cette distance, si l’on ne peut pas contrefaire la présence vécue des choses et des êtres, il reste possible d’envoyer des signaux. D’utiliser la voie des ondes. De faire apparaître des formes et de faire entendre des chants. 
The Bridge et ses partenaires des deux côtés de l’Océan Atlantique proposent deux soirées de concerts, en miroir, l’une depuis Chicago et Constellation le 27 novembre, l’autre depuis Pantin et La Dynamo le 28 novembre. En miroir à traverser.

 

The Bridge : Separatist Party

27 Novembre – Constellation – Chicago


Marvin Tate – voix
Ben Lamar Gay – cornet
Mike Reed – batterie, électronique
Nolan Chin – piano, claviers
Jakob Heineman – contrebasse

The Bridge invite Mike Reed a former une équipe d’improvisateurs de Chicago, pour célébrer les échanges franco-américains développés depuis 2013. 

Concert à 20h (Chicago time) & 03h (Paris time) – 15$
Livestream & replay sur la page de Constellation

 

The Bridge : Les amis américains

28 Novembre – La Dynamo de Banlieues Bleues – Pantin

Hopetown
Claudia Solal – voix  
Benoit Delbecq – piano
 
Joëlle Léandre – contrebasse
Bernard Santacruz – contrebasse
 
Reverse Winchester 
Mike Ladd – vocals
Mathieu Sourisseau – guitar
 
Trois paires de rois et de reines de l’improvisation libre, trois duos duels absolument pacifiques, entre six résidents de le République et six citoyens du monde, comme pour souligner une absence : celle des amis américains. Car ces trois duos qui existent désormais par eux-mêmes se sont formés en marge des expériences vécues, ces dernières années, des deux côtés de l’Atlantique, par Benoît Delbecq, Mile Ladd, Joëlle Léandre, Bernard Santacruz, Claudia Solal et Mathieu Sourisseau, dans le cadre du réseau transatlantique d’échanges The Bridge. Chacun et chacune y a formé des groupes franco-américains, des équipages bigarrés. Les réunir par conséquent le même soir, accueillir les voilages et les dévoilements de Delbecq et Solal, les labours et les bourrasques de Léandre et Santacruz, le feu nourri parlé-chanté-joué de Ladd et Sourisseau, c’est non seulement saluer leur esprit de continuité, mais aussi faire signe aux absents, aux amis américains, qui sont présents de l’autre côté du monde. Dans la pioche d’un monde à réinventer.

Concert filmé par La Huit – Diffusion ultérieure

 

 

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